Alors que la prévalence officielle du VIH/SIDA est de 0,2% à Madagascar, certaines ONG craignent que ce chiffre soit largement sous-estimé. Longtemps dans le déni, les politiques ont demandé l’assistance technique aux bailleurs de fonds et aux acteurs non gouvernementaux, spécialisés dans la prise en charge.
Ces ONG ont conduit des enquêtes auprès des personnes vivant avec le VIH, professionnelles du sexe, usagers de drogue et personnes ayant des relations sexuelles avec des hommes. Que révèlent ces enquêtes ? Quelles sont les conséquences sur la prise en charge ? Comment réduire la stigmatisation ?