Dans les pays en développement, le nombre de décès liés aux complications de la grossesse ou de l’accouchement a diminué de presque 50% entre 1990 et 2010, passant de plus de 543 000 à 290 000 par an. Néanmoins, l’objectif de 75% fixé par le 5e Objectif du Millénaire pour le développement semble difficile à atteindre. En cause, le manque d’accès aux soins, mais aussi aux services de planification familiale. Or, le recours à la contraception est un élément-clef de la réduction de la mortalité maternelle car il permet d’empêcher des grossesses non désirées, trop précoces ou trop rapprochées. Comment améliorer l’accès à la contraception, surmonter les freins financiers médicaux et culturels ?
- Dr Nathalie Akissi Yao-N’Dry, médecin, spécialiste en Management des Programmes de Santé, directrice des Programmes Association Ivoirienne pour le Bien-Etre Familial (AIBEF)
- Pr Karidiata Touré Coulibaly, chef du service gynécologie au CHU Treichville en Côte d’Ivoire.
- Dr Virginie Kouakou, nouvelle directrice de la coordination du programme national de la santé et de la reproduction et de la planification familiale (DC PNSR-PF)
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